Overthinker is my middle name. Je ne sais pas pour toi, mais parfois, juste m’entendre penser m’épuise. En tant qu’artiste (Parce que j’ai écrit un livre, je peins et mon métier c’est d’écrire, j’aime pensé que je suis une artiste), j’aspire à des activités dénuées de réflexion, et c’est exactement ce que je mets en pratique au quotidien, enfin, quand j’en ai besoin.
1. La Peinture à numéro : L’art de taire mon overthinker
À la personne qui a créé la peinture à numéro, I TRULY LOVE YOU. Peindre sans se poser de questions et savoir que je vais aimer le résultat, c’est une invention puissante.
En bon français… ça le fait.
Plonger dans un monde de couleurs pré-définies, de contours simples à suivre, c’est un moyen de libérer mon esprit de la complexité quotidienne. C’est une danse avec la créativité sans l’ombre de la surréflexion.
2. Être en harmonie avec la nature : La méditation à ciel ouvert
M’asseoir dans le banc de neige (l’hiver) ou sortir marcher, c’est selon, et juste ÊTRE.
L’été, c’est dans ma balançoire cocoon que j’aime faire le vide. Prendre conscience de ce qui se passe autour de moi, écouter les sons, sentir un rayon de soleil sur ma joue.
Ces moments de connexion pure avec la nature me permettent de mettre en pause la course folle de mon overthinker.
Parfois, c’est même juste regarder le plafond de ma chambre à faire l’étoile dans mon lit. You may judge me, but it’s okay.
3. Le Ménage comme thérapie mentale : Débarrasser l’espace et l’overthinker
Faire le ménage. Je sais, il n’y a rien de plaisant la-dedans, mais tu serais surprise de son impact sur le mental, du moins le miens.
Et ce n’est pas que je ne pense pas pendant que je fais le ménage, car oui, des fois je chiale dans ma tête de ce que mes ados laissent traîner.
MAIS, ce qui draine mon espace mental n’est plus. L’acte physique du nettoyage devient une métaphore visuelle de libération mentale. En rangeant, je me débarrasse du chaos mental, créant un environnement propice à la tranquillité.
4. Écriture libératrice : déposer les pensées sur papier
Écrire sans filtre, sans structure. Laisser les pensées couler librement sur le papier, sans jugement ni critique.
C’est une autre manière d’alléger le fardeau mental, de faire de la place pour de nouvelles idées et de soulager l’esprit de la pression constante de la réflexion.
5. La méditation : voyage intérieur pour apaiser l’âme
Se plonger dans une méditation, que ce soit à travers une application dédiée ou avec une voix inspirante en ligne, ça aussi ça tait mon overthinker.
C’est une escapade intérieure qui offre un répit à l’esprit, permettant une exploration tranquille des pensées, des émotions et des aspirations.